Peut-on prêter pour posséder (« loan to own ») en droit français ?

Peut-on prêter pour posséder (« loan to own ») en droit français ?

Par Sophie Vermeille, membre de Droit & Croissance
La Semaine Juridique Entreprise et Affaires

Regard sur l’efficacité économique du droit français : un investisseur créancier pourrait-il en France utiliser, comme aux États-Unis, la dynamique du droit des procédures collectives au service d’une stratégie d’acquisition de sociétés en difficulté ?

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